750 grammes
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Mag'cuisine
28 janvier 2013

Des fraises en hiver !

Loin de moi l'idée d'acheter des fraises en hiver ! Par ce titre quelque peu provocateur, je vous propose simplement un petit dessert que l'on peut réaliser facilement en plein hiver avec des fraises du jardin qu'on aura congelées tout au long de l'été, quand on n'en ramasse pas suffisamment pour les servir pour toute la famille ou, au contraire, quand on en a de trop. Les fraises seront congelées légèrement écrasées à la fourchette et sucrées avec parcimonie.

C'est simple, rapide et délicieux !

Fraises à la crème

- des fraises décongelées

- une belle cuillérée de crème fromage

- une belle cuillérée de fromage blanc

Mélanger les fraises avec la crème fraiche épaisse et le fromage blanc.

Servir.

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16 décembre 2014

J-9 \ L'incontournable dinde aux marrons

Mon mari dirait qu'un Noël sans dinde, ni bûche, c'est un peu comme un pantalon sans poche ou une femme sans sein ! Plus sérieusement, la dinde est entrée dans nos traditions et on l'apprécie davantage le 24 ou le 25 décembre que le 14 juillet, non ? Alors, pourquoi la bouder ?

Pour moi, la dinde remonte à l'enfance, à la farce que ma grand-mère (et aujourd'hui ma mère) y glissait dedans, aux châtaignes grillées ou aux marrons en conserve qu'elle y ajoutait, aux restes que l'on mangeait le lendemain avec une sauce suprême... La simple évocation de ce plat de fête me renvoie des parfums et des saveurs douces et bienheureuses.

Que ce soit le poulet du dimanche ou la dinde de Noël, pas une volaille n’était autrefois rôti sans une farce finement hachée : gésiers, foie, chair à saucisse (un soupçon), rehaussée d’échalote, d’ail, d’herbes fraiches ou de fruits secs (raisins secs et/ou pruneaux). On ajoute un petit-suisse et quelques griottes pour la pintade. Mais à Noël, on l'embellit : un hachis de veau et de chair à saucisses, du foie gras, des marrons, des figues ou encore des abricots secs, des champignons, une larme de Champagne ou d’Armagnac...

Farce aux marrons

- le foie et les gésiers de la dinde, coupés en dés

- 400g de marrons au naturel

- 300g d'un mélange de chair de veau et de porc

- 150g de pain rassis mixé

- 15 cl de lait

- 50g de beurre

- 4 échalotes

- 5 cl de cognac

- un brin de persil

- Sel et poivre

Détailler au couteau (et surtout pas au mixeur !) les abats, les échalotes, les marrons et le persil.

Faire fondre le beurre dans une poêle. Y faire revenir les échalotes émincés et les abats de dinde pendant 10 mn environ.

Verser dans un saladier et y incorporer les autres ingrédients en mélangeant bien.

Goûter et rectifier éventuellement l’assaisonnement.

NB 1 : Pour plus de moelleux, on lie la farce avec de la mie de pain rassis trempée dans du lait, mais surtout pas de pain frais qui donnerait une farce collante. A défaut, on remplace le pain par un oeuf.

NB 2 : On prépare la farce et on farcit la volaille 24h avant cuisson pour lui donner le temps de s’imprégner des différentes saveurs.

*********************

Pour une dinde bien tendre

Comme pour la viande, la volaille ne doit pas passer du réfrigérateur au four pour éviter tout choc thermique. On laisse donc sa dinde 2h tranquille à température ambiante, avant de l'enfourner.

On privilégie une cuisson lente à basse température. Une volaille cuite 3h à 120° est moins sèche qu’une 1h30 à 200°. Quitte à augmenter la température en fin de cuisson pour faire dorer davantage la peau.

Pour une dinde de 4,5kg (idéale pour 8 à 10 personnes), on compte au moins 3h30/4h à 160°.

Pour vérifier la cuisson d'une volaille, on pique un couteau à la jonction des pattes. Si le jus qui en ressort est rosé, la volaille n'est pas assez cuite.

Pour gagner du temps

C'est un truc que je tiens de Laurent André, chef du Royal Monceau à Paris :  pocher  la dinde avant de la rôtir réduit le temps de cuisson la tend tendre et fondante.

On dépose la dinde dans une cocotte et on la couvre à hauteur d’eau. On ajoute une garniture aromatique, sel et poivre.

On porte à ébullition et on arrête la cuisson lorsque l’eau frémit (15 mn). On poursuit la cuisson de la dinde au four 2h30 en arrosant tous les quarts d’heure avec le bouillon.

Après le déjeuner, on remet la carcasse dans le bouillon, on fait réduire.

Au moment du dîner, on émiette la viande qui reste sur la carcasse dans le bouillon. On fait chauffer jusqu'à frémissement et on ajoute quelques ravioles de Royan. En deux minutes, le repas est prêt. Parfait pour un dîner léger le soir !

Pour découper facilement une volaille rôtie

Avant de découper la volaille, on la laisse reposer sous une feuille de papier aluminium environ 10 minutes pour que sa chair se raffermisse et que le jus se répartisse uniformément. On se munit d’un couteau de chef bien aiguisé et d’une grande fourchette diapason.

On place la volaille sur le dos, sur une planche dotée d’une rigole pour récupérer le jus. On commence par détacher la cuisse en incisant la peau entre le flanc et la cuisse, puis en écartant pour voir la jointure et la sectionner ou la contourner. On procède de même pour la seconde cuisse.

S’il s’agit d’une grosse volaille, on sépare les pilons des hauts de cuisses. On plante ensuite la fourchette dans la colonne vertébrale. On incise la peau du bréchet en deux parties égales et on coupe la chair en longeant l’os. On décolle les filets des deux côtés de la carcasse. On les coupe en 2 ou en 4 médaillons selon la grosseur. On sépare éventuellement les ailes au niveau de l’articulation.

On retourne la volaille et, avec une cuillère, on détache les sot-l’y-laisse, ces deux petits morceaux de chair tendre situés de chaque côté de la colonne dorsale de la volaille, entre la base des cuisses et la base des ailes. Bien cachés, il n’y a que les sots pour les laisser !

Les quantités de volaille idéales

Pour un dîner en solo, la caille est parfaite. Entre 150 et 200g, on en prévoit une ou deux par convive. Le coquelet, le pintadeau et le pigeon pèsent de 500 à 600g. Idéal pour un tête-à-tête.

La pintade, qui pèse entre 1,2 et 1,5kg, et le lapin, entre 1,5 à 2kg, conviennent pour 4 personnes. Un poulet fermier d’1,5kg satisfait 5 convives. Tout comme la poule de réforme ou le canard qui sont plus gros (entre 1,8 et 2,5kg) mais plus gras et moins charnus que le poulet.

Pour un repas à 6, on préfère du dindonneau, de l’oie ou du chapon qui pèsent entre 3 et 4,5 kg. A noter qu’une cuisse de dindonneau régale à elle seule 4 personnes. Le coq dont le poids varie de 3,5 à 5 kg, et la dinde, de 6 à 7 kg, sont parfaits pour une grande tablée.

On retient : on compte environ 150g de chair désossée et 250 à 300g de chair avec os par personne.

25 janvier 2006

La cervelle, vous aimez ?

Les abats ne plaisent pas à tout le monde. Pour ma part, j'avoue que j'ai toujours aimé la plupart d'entre eux. Et mes enfants sont aussi assez friands de langue, de cervelle... et même de tripes ! Cela surprend mais c'est ainsi.

Cervelles de porc sautées

Comptez 2 cervelles par personne pour un plat.

Laisser dégorger les cervelles dans de l'eau froide et les débarasser des filaments de sang.

Les éponger sur du papier absorbant, les rouler dans la farine.

Les faire revenir 10 minutes environ, de tous côtés, à la poêle, dans un beurre bien chaud.

Saler, poivrer et servir avec une purée de pommes de terre, des tagliatelles, des petits pois...

28 décembre 2005

Le Bistrot du Fort : un bistrot de qualité

Ouvert depuis quelques mois, le Bistrot du Fort est un de ces lieux où la qualité est un maître mot. Laurent Fricheteau y tient les rênes avec prodige. Il faut dire qu'il n'en est pas à son premier coup d'essai. Auparavant, il tenait deux restaurants l'un, la Sourdière, dans le 1er arrondissement parisien, l'autre le Lauriston, si je me souviens bien, dans le 16ème. Deux adresses dignes des plus grands bistrots parisiens.

Là encore, le chef nous concocte une cuisine traditionnelle, délicate et généreuse.
Les entrées le démontrent : escargots, cassolettes de cèpes, croustillants au rocamadour, terrine du chef et son chutney d'oignons...  En ce moment, n'hésitez pas à goûter le foie gras truffé maison, il est divin. Les pièces de bœuf charolaises sont de belle taille, très fondantes et très bien accompagnées : chaussons de pommes-de-terre (comme les fait si bien la mamie alsacienne de mon mari, les fameux pankoufle - désolée pour l'orthographe qui n'est certainement la bonne...), haricots verts, tomates et morilles. Les gambas sont elles aussi remarquables et s'accommodent parfaitement d'un riz safranée.
Les classiques de la cuisine française ne sont pas oubliés : pot-au-feu, tête et langue de veau sauce ravigote... A moins que vous ne craquiez pour les plateaux de fruits de mer et leurs huîtres de chez Gilardeau.
D'ailleurs, au pire, vous pourrez repartir avec, puisque le Bistrot du Fort propose également de la vente à emporter.
Quant aux desserts, la carte est alléchante : mi-cuit au chocolat, tarte tatin, profiteroles, crème brûlée, baba au rhum...

C'est vrai que ce n'est pas donné : comptez 30€ minimum par personne, sans la boisson, auquel vous devrez ajouter peut-être des suppléments (beaucoup de plats en ont). Cela dit, au vu de la qualité, c'est tout à fait correct.
L'équipe en salle est jeune et sympa. Elle vous accueille de 8h à 22h autour d'un verre (café et salon de thé) ou en terrasse.
Une belle adresse dans un coin où les restaurants de qualité ne sont vraiment pas nombreux.

Le Bistrot du Fort
2 avenue du Fort - 94370 Sucy en Brie
tél. : 01 45 90 54 89
http://www.lebistrotdufort.com

10 juillet 2008

Tomates et courgettes font bon ménage !

Des tomates farcies aux courgettes légèrement confites : c'est bon et idéal pour accompagner une épaule d'agneau confite ou une côte de boeuf grillée au barbecue. Et, avec des produits de saison, c'est tellement meilleur. Profitons-en !

Tomates farcies aux courgettes

pour 4 personnes :

- 4 tomates

- 1 courgette

- 1 petit oignon

- 2+1 cuillers à soupe d'huile d'olive

- sel, poivre

Couper un chapeau à 4 tomates et les vider. Réserver l'intérieur.

Couper une belle courgette en petits dés, émincer finement un petit oignon.

Dans un peu d'huile d'olive, faire revenir la chair des tomates, les dés de courgettes et l'oignon. Assaisonner.

Une fois les légumes cuits, en garnir les tomates évidées.

Chapeauter les tomates. Verser un peu d'huile d'olive sur chaque tomate.

Faire cuire à four chaud (200°) pendant 20 minutes environ. Déguster en accompagnement d'une viande.

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13 mars 2009

Une tarte à décliner en toute saison

Envie d'un dessert bien gourmand pour le déjeuner ? Si vous avez des bananes et de la pâte brisée, rien de plus simple ! Pour le dessert, je vous propose une tatin de bananes !

J'aime faire des déclinaisons de tatin lorsqu'il me reste un peu de pâte brisée et quelques fruits dans la coupe (poires, pommes, bananes, abricots...).

Tatin de bananes (ou de tout autre fruit)

pour 4 gourmands :

- 4 bananes

- 1 fond de pâte brisée

- 50g de sucre

- 50g de beurre

Recouvrir le fond d'un moule de parcelles de beurre et de sucre.

Eplucher les bananes. Les couper en rondelles de 5 mm d'épaisseur environ.

Recrouvrir de bananes le mélange beurre-sucre en les faisant se chevaucher.

Déposer la pâte brisée.

Enfourner à four chaud (200°) pour 20 minutes.

Laisser tiédir.

Retourner sur le plat de service au moment du service.

16 décembre 2013

A Noël, pas d’embûches avec la bûche ! (2)

Roulée, la bûche traditionnelle a ses adeptes. Mais, avec un peu d’imagination, on la revisite volontiers : chocolat, caramel, noisettes, marrons glacés, fruits rouges ou exotiques. Difficile de résister à la gourmandise...

Avec sa crème au beurre striée et son voile de sucre glace comme autant de neige poudreuse tombée à la volée, elle imite à merveille la bûche de bois qu’on brûlait autrefois dans la cheminée*. Dessert de Noël incontournable, la bûche est traditionnellement composée d’un biscuit roulé garni de crème au beurre parfumée au café, à la vanille, au chocolat, au praliné ou au Grand-Marnier.

Moelleuse et généreuse à souhait, elle a de quoi séduire comme de barbouiller plus d’un estomac déjà bien rempli par les agapes ! Dans ce cas, mieux vaut miser sur une garniture plus légère, tout aussi alléchante.

Variations sur le même thème

Depuis quelques années, les fruits rouges et exotiques connaissent un grand succès auprès des plus grands pâtissiers français. Le secret ? Le crémeux qui garnit volontiers les religieuses revisitées comme les bûches de Noël. Cette crème pâtissière dont la purée de fruits remplace en partie ou en totalité le lait, ensuite montée au beurre et collée à la gélatine, se réalise sans difficultés majeures. Il suffit de fouetter 1 jaune d’œuf avec 50g de sucre et 10g de maïzena, de verser dessus 150g de purée de framboise, de mangue, d’ananas, de fruits de la passion… préalablement portée à ébullition et de laisser frémir cet appareil 2 à 3 minutes. Hors du feu, on ajoute 1 feuille de gélatine ramollie puis on laisse tiédir avant d’incorporer 75g de beurre et de lisser au mixeur. Pour une version aux marrons, on ajoute 15 cl de lait entier à la crème de marrons et on procède de la même façon. Le crémeux est alors prêt à garnir le biscuit roulé.

Plus classiques, les crèmes mousseline et diplomate font très bien l’affaire à condition d’y ajouter quelques dés de fruits frais (framboise, mangue) ou pochés (poire, ananas) afin de jouer sur les textures et les saveurs. On réalise une crème pâtissière classique (25 cl de lait, 4 jaunes d’œufs, 50g de sucre, 30g de Maïzena et 1 gousse de vanille) que l’on monte, une fois refroidie, avec 120g de beurre pommade pour l’une, de 20 cl de crème fouettée pour l’autre.

Question de formes

Faire l’impasse sur le biscuit roulé est non seulement judicieux pour celles et ceux qui ne maîtrisent pas encore la technique mais permet en plus de réaliser une bûche pâtissière plus tendance.

La gouttière à buche n’est pas forcément nécessaire. Un cadre rectangle ou un moule à cake donnent à la bûche une forme pavé très actuelle. Pour les plus créatifs, un cul de poule ou un saladier viennent à bout d’une bûche igloo ou, au moins, en dôme.

Le principe est assez simple mais nécessite d’être bien réfléchi avant de se lancer :

- un biscuit pour la base (génoise, cuiller, joconde, pain de Gênes, dacquoise amande, ou noisette ou coco, sablé breton…),

- une mousse de fruits (500g de purée de fruits additionnés de 150g de sucre, de 500g de crème chantilly et de 8 feuilles de gélatine), une bavaroise ou une ganache montée au chocolat (500g de chocolat et 300g de crème, le tout monté en chantilly)

- et un crémeux ou une gelée de fruits (200g de purée de fruits, 50g de sucre et 3 feuilles de gélatine) au cœur.

On commence par confectionner celui-ci qui vient s’insérer dans la garniture, une fois bloqué au froid quelques heures. Puis, après avoir préparé le biscuit et la garniture, on monte l’entremets dans le moule.

Les plus prévoyants réalisent leur bûche quelques semaines à l’avance et la réservent au congélateur jusqu’au jour J. Le décor est effectué deux heures avant la dégustation seulement pour ne pas se détériorer à la décongélation. Un glaçage au chocolat fait son effet (150g de chocolat noir ou blanc et 100g de crème). A chaque extrémité de la buche, des plaques de chocolat, carrées ou rondes, ou pour les plus habiles, des spirales de chocolat, apportent une touche très esthétique, à la manière d’un grand chef.

Bons préparatifs !

1 janvier 2006

Bonne et heureuse année !!!

2005 a été riche en découvertes, échanges et créations.
Découverte des blogs culnaires grâce au forumeuses de Marmiton en début d'année,
création de L'Univers de Mag en avril,
rencontres "virtuelles" et échanges amicaux avec certaines bloggeuses au fil des mois,
participation à l'émission Droit dans le buffet sur Europe 1 en  octobre...

A travers L'univers de Mag, je me suis efforcée à cuisiner dans le but de séduire (vous, des inconnus),
j'ai essayé des mets que jen'aurais pas osés réaliser,
je me suis mise à penser que je pouvais prétendre au titre de rédactrice spécialisée en cuisine (ça change de la communication d'entreprise)...

Et ce, grâce à vous, fidèles visiteurs, à vos remarques, à vos mails de sympathie et d'encouragements.

En cela, je vous remercie. Merci aussi de m'avoir rendu 50 000 fois visites en 8 mois...

Que vous soyez aussi toujours plus nombreux à venir me rendre visite dans mon univers et que vous y trouviez plaisir à me lire à chaque fois.

Meilleurs voeux à vous tous pour cette nouvelle année !

20 avril 2008

Trois ans !

Trois ans déjà que L'Univers de Mag a fait son apparition dans la blogosphère culinaire.

A l'époque, nous n'étions pas nombreuses(x ?) à livrer nos astuces et nos recettes de cuisine. Pascale, Mercotte, Elvira, Anne, Nawal, Mijo, Emmanuèle..., voilà celles à qui je rendais visite chaque jour.
Mais, depuis, la famille s'est agrandie. Aujourd'hui, les blogs de cuisine fleurissent et beaucoup me sont inconnus. Au gré de mes pérégrinations sur le net, j'en découvre parfois, fort intéressants, et j'imagine que je passe encore à côté de petites merveilles. Dommage ...

Parmi ces blogs toujours plus nombreux, je sais que vous êtes nombreux à rester fidèles à l'Univers de Mag et j'imagine donc que vous prenez plaisir à me rendre visite chaque semaine... enfin, selon mes billets ! J'en profite d'ailleurs pour m'excuser de ne pas être toujours au rendez-vous, d'être parfois absente trop longtemps. Mais, j'ai un métier, une famille et plusieurs activités extra-professionnelles "dans ma vraie vie" qui me prennent beaucoup de temps et m'obligent parfois à ne pas être à la hauteur en cuisine.
Aucun intérêt de publier une pizza fraichement livrée à "bobinette" comme dirait ma fille, ou une recette déjà parue dans le blog. Eh oui, à la maison, je refais souvent les même choses parce que je sais qu'avec elles, le succès est garantie et la soupe à la grimace pour un autre jour !

Néanmoins, j'essaierai, dans les mois qui viennent, de satisfaire encore votre curiosité, d'éveiller vos papilles, de vous persuader (pour certaines) de vous lancer dans mes recettes parce qu'elles ne sont pas forcément compliquées à réaliser et ne nécessitent, pour la plupart, que peu de temps et pas forcément beaucoup de matériel (j'en ai, pour ma part, très peu).

Merci pour votre fidélité et pour vos bons mots que je reçois avec parcimonie mais que je lis toujours avec un réelle plaisir !

13 octobre 2006

Mignon et si fondant....

Le filet mignon de porc est un morceau pratique à cuisiner car assez rapide. Grillé, en cocotte ou au four, lardé ou encore habillé d'une pâte feuilletée, il se plie à toutes les cuissons... et toutes les sauces : avec une concassée de tomates bien relevée, de la crème et de la moutarde ou du curry, toutes sortes de fromage...
Vous l'accompagnez de pommes-de-terre sautées, de pâtes ou de fagots de haricots verts, c'est selon votre humeur et vos envies !


Filet mignon lardé au roquefort

- 1 filet mignon de porc
- 5 tranches fines de poitrine fumée
- 1 oignon
- 3 cuillérées de crème fraiche
- 100g de roquefort
- 50g de beurre
- sel, poivre

Enrouler la poitrine fumée autour du filet de façon à le couvrir. Le ficeler au besoin.
Emincer l'oignon.

Dans une cocotte ou une sauteuse, faire fondre le beurre et y faire colorer l'oignon et le filet de tous côtés.

Saler, poivrer.

Ajouter le roquefort coupé en dés et la crème. Couvrir et laisser cuire à feu doux une petite demi-heure.

Trancher et servir rapidement avec des tagliatelles.

28 février 2006

Aujourd'hui, on mange gras !

C'est drôle comme les coutumes culinaires qui, la plupart du temps, mêlent des traditions païennes et religieuses, peuvent dévier au fil des siècles.
Ainsi, la chandeleur et mardi-gras semblent de plus en plus confus.

La chandeleur tire ses origines, à la fois, de la fête romaine des lumières, qui consistait à allumer des cierges (ou "chandelles") et à veiller les morts, d'une croyance d'origine celte où la crêpe symbolise la roue solaire et le don aux divinités sans lesquels il n'y aurait pas de blé, et de la célébration judéo-chrétienne de la présentation de Jésus, 40 jours après sa naissance, par Marie. D'où, une date immuable : on fête la chandeleur chaque année le 2 février.
Loin des cierges, la chandeleur, c'est donc le 2 février, l'occasion de faire sauter les crêpes ! Vive les traditions !

Mais, c'est aussi l'occasion de faire la fête et de se déguiser. C'est ainsi qu'à la chandeleur commence la période du carnaval qui s'achève le jour du mardi-gras.

Dans la tradition chrétienne, mardi-gras est le dernier jour (avant 40 jours, je vous rassure !) où l'on peut manger "gras". Et là encore, on ne va pas s'en priver !
Aujourd'hui, en tout cas, car dès demain, mercredi des Cendres, commence en effet le Carême, période durant laquelle chacun doit purifier son corps et manger plus light, dirait-on aujourd'hui !
Selon la tradition religieuse, donc, exit la viande jusqu'à Pâques. Mais, là, vous voyez, j'ai un peu plus de mal avec les traditions !
Donc, aujourd'hui, on peut se lâcher : beignets, fritures..., toute graisse est la bienvenue !

20 avril 2009

L'Univers de Mag souffle 4 bougies !

Le 20 avril 2005, je m'aventurais dans la bloggosphère en créant l'Univers de Mag, avec deux tartes sucrées : celle au chocolat et celle à la rhubarbe.

Aujourd'hui, 4 ans après, mon blog est toujours là, riche de 370 messages (je découvre en l'écrivant que je n'ai pas été aussi bavarde que je le pensais !), et mes lecteurs toujours plus nombreux.

Juste quelques données statistiques : depuis mars 2006 (début du nouveau système de calcul des statistiques de Canalblog), vous avez été 290 735 à lire plus de 480 630 pages de ce blog et 925 à me laisser un commentaire. Des chiffres à me donner le vertige ! Même s'ils sont loin de ceux des blogs les plus célèbres... mais qu'importe !

Comme je vous le disais l'année dernière, j'essaierai de titiller encore quelques temps vos papilles et d'éveiller toujours plus votre curiosité. Quelques projets devraient enfin voir le jour dans les mois qui viennent qui ne seront pas sans me procurer plusieurs nouvelles recettes !

Je vous remercie pour votre fidélité.

11 mai 2009

L'univers de Mag devient Mag'cuisine

Après 4 ans de bons et loyaux services (!), L'univers de Mag évolue et devient Mag'cuisine.

Un nom plus proche de la réalité de ce blog. Recettes familiales et gastronomiques, balades gourmandes, lectures culinaires, art de la table : Mag'cuisine, c'est de la cuisine, rien que de la cuisine.

Un nom qui joue avec les mots : Mag' cuisine, c'est Magali qui cuisine et c'est aussi un magazine de cuisine !

Pour les fidèles de ce site, l'URL reste inchangé (visiblement impossible chez Canalblog). Inutile donc de toucher à vos favoris, vous n'avez qu'à modifier le nom du blog !

Dans les semaines qui viennent, certains détails esthétiques devraient être peaufinés... enfin si j'y parviens !

C'est tout pour l'heure. Rendez-vous demain pour une nouvelle recette de saison...

25 août 2007

Index des recettes

14 octobre 2013

Un seul mot d’ordre : ranger ! Ou les bonnes résolutions de la rentrée - épisode 2

Il y a un mois, je vous livrais ma façon de faire pour ne pas me laisser déborder en cuisine, au moins lorsque nous invitons, au mieux au quotidien (même si, pour le coup, certains soirs, il m'arrive de paniquer !). Si vous ne l'avez pas déjà fait (je profite toujours de mes vacances d'été pour m'y mettre même si ça n'est pas de gaieté de coeur, je vous l'avoue), je vous propose de consacrer votre prochain week-end (oui, je sais, ça n'est pas vraiment cool !) au rangement de votre cuisine, des placards au congélateur, une bonne fois pour toute (ou tout du moins, pendant un an) ! Ainsi organisée, vous serez prête à affronter sereinement les mois qui arrivent. Pas mal, non ?

On l’a toutes constaté : une cuisine fonctionnelle, c’est du stress en moins et du temps en plus. Pas négligeable lorsqu’il faut jongler entre le travail, les enfants, la maison… Sans compter les économies réalisées puisque les aliments sont mieux conservés. Car – vous l’ignorez peut-être –, dans le monde, plus de 20% des aliments finissent à la poubelle, faute d’avoir été consommés à temps ou bien conservés*. Alors pour ne plus oublier des fruits dans le fond du frigo, un reste de plat cuisiné qui aurait pu être congelé, un paquet de céréales à moitié entamé, la solution, c’est de miser sur un rangement astucieux et ordonné.

Au placard le désordre !

Qui dit rangement, dit tri ! Commencez par vider vos placards à épicerie, jetez ce qui est périmé et videz les paquets entamés de pâtes, de riz, de céréales, de fécules, de café… dans des boites hermétiques pour une meilleure conservation. De ce côté-là, vous avez le choix : de jolies boites en fer, des bocaux en verre (bien pratiques pour en connaitre le contenu en un clin d’œil mais gare aux chutes) ou, plus solides, des boites en plastique. J'aime beaucoup celles de Tupperware (Boîtes Modulaires Pop). Empilables, translucides, elles vous permettent en plus de faire rapidement le point sur les réserves : pratique lorsque vous dressez votre liste de courses pour éviter des oublis et des achats inutiles. Les + : leur large ouverture et leur  couvercle qui ne se referment pas quand vous versez les ingrédients. Optez pour une boite verseuse pour le sucre ; privilégiez les grands contenants pour les denrées vendues en grande quantité (à titre indicatif, une boite de 2l reçoit sans débordement 1kg de farine). Avec un tel rangement, finis les mites alimentaires et les paquets éventrés qui se répandent dans tout le placard. Celui-ci reste propre plus longtemps, histoire en plus de ne perdre ni d’énergie, ni de temps à nettoyer !

Profitez-en pour réorganiser les placards, si ce n’est déjà fait. L’un consacré au salé, l’autre au sucré, par exemple. Ou encore, l’un dédié au petit-déjeuner (au-dessus de la cafetière par exemple) pour éviter des déplacements dans toute la cuisine dès le réveil, un autre aux condiments, huiles… à proximité des plaques de cuisson, plus pratique au moment de cuisiner. Regroupez les aides à la pâtisserie (levure, sucre, colorant, glaçage, fruits secs, chocolat pâtissier…) dans une même boite : vous savez ainsi exactement ce que vous avez quand vous préparez un gâteau.

Bref, ordonnez vos placards avec bon sens, tout en respectant vos habitudes de travail.

Nickel, le frigo !

Il n’y a rien de plus désagréable que d’ouvrir la porte du frigo et de sentir l’odeur du fromage ou de l’échalote entamée ! Rien de pire que de découvrir que le rôti de bœuf a coulé sur toutes les clayettes ou que les légumes croupissent dans un liquide nauséabond au fond du bac à légumes ! C’est qu’il ne suffit pas de déposer tels quels les aliments dans le frigo pour les conserver. Quelques règles de base s’imposent !

1°) Respectez impérativement les zones de froid de l’appareil et placez chaque aliment à sa place. Relisez le mode d’emploi si besoin et mettez un thermomètre sur une clayette pour vérifier le réglage des températures.

En haut ou en bas du frigo selon les modèles, la partie la plus froide (entre 0 et 4°C) est réservée à la viande, la volaille, le poisson, la charcuterie, mais aussi aux produits en cours de décongélation.

Au milieu, la zone tempérée est adaptée aux plats cuisinés et aux produits laitiers (yaourts, crème, beurre, fromages).

Les bacs à légumes sont destinés aux fruits et légumes crus et aux aliments fragiles.

La porte, la partie la plus éloignée de la source de froid, est idéale pour les œufs, les confitures et condiments entamés (moutarde, concentré de tomate, cornichons…) et les boissons. Réservez également le beurre entamé dans cette zone pour l’étaler plus facilement sur vos tartines !

2°) Prenez l’habitude de conserver vos aliments dans des récipients adaptés. Les fruits et légumes, simplement épluchés, se conservent plusieurs jours dans une boite ventilée à clapet ou un sac micro-aéré. Une fois lavées, les salades et les herbes fraiches se gardent plusieurs jours (jusqu'à 3 semaines pour le persil) en glissant une feuille d’essuie-tout mouillée et essorée !

Pensez aussi à râper carottes crues et betteraves cuites, à les assaisonner et à les conserver dans des raviers munis d’un film fraicheur ou d’un couvercle étanche. Prêtes à déguster, ces crudités se gardent une semaine sans souci !

Viandes, volailles et poissons crus ne doivent pas rester sous cellophane car ils doivent respirer. Laissez-les dans le papier paraffine du commerçant ou, à défaut dans une boite ventilée ou un saladier recouvert d’une feuille d’aluminium ou d’un torchon propre.

Conservez la soupe dans une bouteille en plastique, entreposée dans la porte pour gagner de la place sur les clayettes.

Pour la charcuterie et le fromage, il existe (notamment chez Tupperware - encore eux !) des boites spécialement conçues à cet effet qui évitent dessèchement et mauvaises odeurs. Résultat garanti !

3°) Rangez systématiquement les aliments en fonction de la date de péremption : les plus longues au fond, les plus courtes devant. Un conseil qui vaut d'ailleurs aussi pour la cave et le congélo. Malin pour ne pas jeter du lait, des œufs ou du jambon périmé !

4°) Laissez constamment les boites de conservation de légumes et de viande dans le frigo. Un conseil plein de bon sens qui me vient de Tupperware. Lorsqu’elles sont vides, c’est qu’il est temps d’aller au marché ! Et du coup, vous gagnez de la place dans le placard.

Avec de telles précautions, vous évitez bien des gaspillages et votre frigo reste propre.

Anti-gaspi, le congélo !

Votre boucher fait une promo sur le bœuf à mijoter alors qu’il fait 40° ? Vous flashez sur des cagettes de courgettes à la pleine saison ? Votre cerisier donne à profusion ? Inutile de gâcher ! Congelez !

Evitez de laver les fruits et légumes au préalable pour éviter un excès d’humidité qui risquerait d’altérer leur fraîcheur. Essuyez-les seulement avec un torchon propre. Dénoyautez les fruits. Coupez les légumes et les fruits en dés et placez-les sur un plateau dans le congélateur. La prise est plus rapide et les aliments ne s’accolent pas entre eux. Il ne vous reste plus qu’à les transvaser, une fois congelés, dans un sac congélation ou une boite hermétique pour les protéger des cristaux de glace et préserver leurs saveurs. Conditionnez-les par 500g. Plus facile à utiliser pour une soupe ou un crumble express, ils se décongèlent également plus vite.

Faites de même avec les steaks, les escalopes, les darnes de poisson... Vous pourrez ensuite les prélever à l’unité si vous le souhaitez. Si vous congelez des aliments frais directement en sachet, évacuez le maximum d’air avant de le fermer, pour éviter la prolifération des bactéries et la formation du givre.

Pensez aussi à congeler vos restes de plats cuisinés. Cela vous fait des repas prêts à l’avance les soirs de semaine où vous n’avez pas beaucoup de temps. Et n’oubliez pas de jeter un coup d’œil dans le frigo pour congeler les aliments avant qu’ils n’arrivent à la date limite de consommation. Mais attention, si les légumes et les fruits crus se conservent jusqu’à 10/12 mois, les viandes et les volailles doivent être consommés au bout de 6 à 9 mois, le poisson seulement 3 mois, la charcuterie  entre 1 et 3 mois et les plats cuisinés pas plus de 2 mois. Sinon, c’est poubelle !

Mes contenants préférés

- Les Sacs à Légumes Albal conservent la fraîcheur des fruits et légumes non lavés 3 fois plus longtemps grâce aux micro-aérations. En plus, ils ne prennent pas de place dans les placards.

- Les boîtes Modulaires Pop Tupperware pour conserver le sucre, la farine, les céréales, les biscottes...

- Toujours chez Tupperware, la Cave à fromage n'est pas super sexy sur la table mais permet de conserver le fromage sans odeurs intempestives de fromage dans le frigo grâce à une membrane CondensControl™ qui régule l’humidité.

- les boites Ventilofrais (vous devinez de qui ?) sont géniales pour conserver au frigo fruits, légumes (salade), viande et poisson. Il suffit d'ajuster l’aération grâce aux deux clapets pour prolonger la durée de vie des aliments.

Dernière astuce pour supprimer les mauvaises odeurs des boites plastiques : je les remplis d’eau et les dépose au congélateur. Une fois l’eau prise, je retire le bloc et les odeurs avec !

* Source : Etude TheConsumerView, 2011.

3 avril 2009

La sèche s'enivre de douceurs normandes

Mollusque pêché aux larges de la côte ouest du Cotentin, la seiche s'accomode volontiers de crème fraiche et de cidre.

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Retrouvez la recette de Seiche à la normande ici.

1 juillet 2016

Très bel été en Normandie... ou ailleurs !

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Très bel été en Normandie... ou ailleurs !

1 février 2007

Des crêpes pour la Chandeleur !

Et oui, comme chaque année, le 2 février, sortons nos crêpières !

lasagnes_de_cr_pes_001

Entre les galettes bretonnes, les lasagnes de crêpes et la farandole de crêpes sucrées, il y a de quoi faire la joie des petits et des plus grands pour le goûter et dîner d'aujourd'hui.

Bonne chandeleur !

4 janvier 2007

L'épiphanie, c'est maintenant !

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De la pâte feuilletée, des amandes, des pommes, des fruits rouges : de quoi préparer la délicieuse galette des rois que j'avais faite l'année dernière.

C'est décidé, vu le succès de cette recette, je m'y remets dès dimanche matin ! Et promis, l'année prochaine, j'innove !

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2 janvier 2007

Voici 2007 !

Je vous souhaite à toutes et tous une bonne et heureuse année 2007.

Qu'elle soit riche en douceurs culinaires... et autres d'ailleurs !

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9 mai 2008

Tendance & design à table

Sets de table en ardoise naturelle, assiettes blanches, gobelets à eau colorés, tasses à expresso design : pour un repas en toute simplicité.

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5 janvier 2009

Happy new 09 !

Avant de vous livrer de nouvelles recettes, je vous souhaite une délicieuse année 2009...

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A la frangipane, à la pistache, pistache/griottes, crème d'amande/pommes/fruites rouges, crème de noisette/poire/pépites de chocolat...: retrouvez toutes mes recettes de galette des rois ici.

23 décembre 2009

Joyeux Noël !

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Joyeux Noël à toutes et tous !

24 décembre 2010

Joyeux Noël !

Juste un petit mot pour vous souhaiter un bon réveillon et un excellent Noël !

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En manque d'inspiration pour vos menus de fêtes ? Consultez le dossier spécial Noël ici !

31 décembre 2007

Bonne année 2008 !

Depuis presque 3 ans, je prends plaisir à faire vivre ce blog.

Cette année encore, j''espère que vous serez nombreux à apprécier ce que je publie.

Je vous souhaite à toutes et à tous une bonne et heureuse année pleine de douceurs et de gourmandise !

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