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Mag'cuisine
1 novembre 2005

Variation autour de la confiture de poires

Un bon kilo de poires provenant directement du jardin familial en Basse-Normandie et une envie irresistible de s'essayer à la confiture de poires. Celle que j'ai dégustée un matin, chez Florence et Philippe Martinez, les propriétaires des chambres d'hôte Les Bournais, dont je vous parlerai très prochainement.

Cette confiture n'avait pas du tout l'allure d'une confiture, ni celle d'une gelée !  Non, elle avait le mérite d'avoir le goût de poires fraiches, tout naturellement. Ni trop sucrée, ni trop sirupeuse, généreuse en lamelles de fruit, cette confiture - ou marmelade devrais-je dire ? - était tout simplement dé-li-cieuse !

Après maintes recherches sur le net en général, et sur d'autres blogs culinaires en particulier, j'ai fini par me décider sur les quantités.

confiture de poire (3)

Confiture de poires

pour 500g de poires épluchées,

- 250g de sucre cristal

- un peu de citron (facultatif)

Eplucher les poires et les détailler en lamelles. Les citronner afin d'éviter qu'elles ne noircissent. Les peser.

Ajouter la moitié de leur poids en sucre cristal et laisser mariner 4h.

Faire cuire à feu doux une bonne vingtaine de minutes (le temps varie en fonction de la quantité et de la casserole).

Mettre en pots, les refermer et les retourner immédiatement. Laisser refroidir.

Et une version plus gourmande :

Confiture de poires et chocolat

pour 500g de poires épluchées,

- 250g de sucre cristal (les poires sont très mures)

- un peu de citron

- 100g de chocolat noir

Eplucher les poires et les détailler en lamelles. Les citronner afin d'éviter qu'elles ne noircissent. Les peser.

Ajouter le sucre cristal et laisser mariner 4h.

Faire cuire à feu doux une bonne vingtaine de minutes. Ajouter le chocolat en pépites.

Pour cela, placer le chocolat dans un sachet de congélation, par exemple, bien le fermer et taper à l'aide d'un marteau jusqu'à obtention de pépites.

Mettre en pots, les refermer et les retourner immédiatement. Laisser refroidir.

Pour tout connaître sur les poires et découvrir une autre recette, cliquez ici.

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20 octobre 2005

Un crumble aux saveurs d'automne

Le crumble est peut-être l'une des premières recettes que j'ai transmise à ma maman. J'avais alors 13 ans et je l'avais apprise en cours d'anglais, à l'époque où la cuisine anglaise n'était pas des plus appréciées en France.

Il s'agit d'une recette très simple, plutôt de l'ordre du jeu d'enfants. Elle a le mérite d'être rapide si on opte pour le robot ou bien d'être très plaisante si on préfère mettre les mains à la pâte !

Cette recette repose sur un principe de base, deux équations en fait :

- le poids du sucre = le poids du beurre

- le poids du sucre + le poids du beurre = le poids de farine

A partir de là, toutes les variantes sont possibles: crumble aux pommes et crème anglaise, crumble à la rhubarbe, aux poires, aux framboises...

Voici ma version du jour...

crumble_d_automne_aux_pommes_001

Crumble d'automne aux pommes

- 2 grosses pommes

- 100g de beurre émiétté

- 100g de sucre

- 200g de farine

- une poignée de cerneaux de noix

- une cuillère à soupe d'amandes

Préchauffer le four à 210°.

Peler les pommes et les déposer en morceaux dans un moule beurré.

puis, version rapide :

Mettre tous les ingrédients (sauf les pommes) dans le bol d'un robot  et mixer jusqu'à obtention d'un mélange sableux.

ou, pour la version plaisante, notamment pour les enfants :

Dans un saladier, bien mélanger le beurre émietté et le sucre avec les mains. Ajouter la farine d'un coup et continuer à travailler le mélange à la main jusqu'à obtenir un mélange sableux. Ajouter les amandes et les noix, préalablement réduites en poudre.

Recouvrir les pommes de ce mélange. Enfourner pour 40 minutes. La surface doit être dorée. Servir tiède, nature ou avec une crème anglaise, of course !

crumble_aux_pommes_0031

11 octobre 2005

Vite faits et tellement bons, les gratins de fruits !

Dans le compotier se meurent deux figues et quelques grappes de raisin blanc d'Italie et de muscat noir. Personne ne se décidant à les manger, transformons-les en gratin !

Quant à la recette, vous n'allez pas être déçus : c'est du pifomètre, de l'improvisation totale, avec la complicité de mon petit Enzo !

gratin_de_fruits_d_automne

 

Gratin de figues et de raisins

pour 4 plats à crème catalane individuels,

- 2 oeufs

- 25 cl de crème entière

- 5 cuillérées à soupe de sucre cassonade

- 2 cuillérées à soupe de poudre d'amande

- 2 figues

- une vingtaine de grains de raisin blanc et noir

- une noix de beurre

Préchauffer le four en position chaleur tournante + grill à 200°.

Laver et égrapper le raisin. Laver, équeuter et couper en deux les figues.

Beurrer les moules. Y répartir les fruits.

Dans un saladier, battre les oeufs en omelette avec 4 cuillérées de sucre. Y incorporer la crème fraiche puis l'amande. Bien mélanger. Verser sur les fruits.

Poudrer du sucre restant.

Enfourner pour 10-15 minutes. L'appareil doit être bien pris et la surface bien dorée. Laisser un  peu refroidir et déguster tiède.

PS : j'aurais pu y mettre mais aussi des poires, des pêches, des prunes... et ajouter des raisins blonds secs, des cerneaux de noix, des amandes effilées... Mais cette version simplifiée est très bien ainsi et permet de conserver la saveur des fruits frais.

3 octobre 2005

Un dimanche d'automne

Inspirée par un marché et un supermarché propices, me voici ce dimanche matin partie dans un petit repas qui sent bon la mousse des sous-bois !

Voyez plutôt :

petite salade automnale

cailles mi-figues mi-raisins et fricassée de cèpes

fromages

amandine aux poires (clic)

Commençons par les cailles, rapides à cuire, mais plat qui demeure le plus long pour ce menu.

 

caille_mi_figue_mi_raison_0041

Cailles mi-figues mi-raisins

pour 4 personnes :

- 4 cailles

- 4 belles figues fraiches

- 1 grappe de raisin blanc

- 20 cl de Jurançon moelleux Clos Lapeyre

- 100g de beurre

- 1 cuillère à soupe de sauceline

- sel, poivre

Peler les grains de raisin, réserver. Peler également une figue, la couper en dés. Saler, poivrer l'intérieur des cailles, les farcir d'une noix de beurre et de dés de figues. Les trousser.

caf__et_vin_008Dans une petite cocotte ou une sauteuse, faire dorer les cailles de tous côtés dans une noix de beurre bien chaude pendant 10 minutes environ. Saler, poivrer et les retirer. Sans rincer la sauteuse, en ajoutant seulement une noix de beurre , faire de même avec les figues et le raisin. Les retirer et les réserver.

Remettre les cailles, mouiller avec le vin. Monter le feu et laisser bouillir quelques secondes. Ajouter les fruits puis couvrir et laisser mijoter à feu moyen pendant 15 minutes.

Dresser les assiettes ou le plat de service en conservant le jus dans la sauteuse. Les réserver au chaud (dans le four par exemple).

Ajouter un peu de sauceline dans la sauteuse et laisser cuire jusqu'à ce que le jus devienne sirupeux. Napper les assiettes de sauce et servir avec une fricassée de cêpes ou une poêlée de champignons.

Et pour boire, le même vin, ce Jurançon excellent que nous nous procurons chez notre caviste "différentiel", absoluvins.com (clic)

Passons à la préparation de l'entrée...

salade_automnale_0051

Salade automnale

- un mélange de jeunes pousses de laitue blonde et rouge, de roquette et de cerfeuil

- des tomates cerise (les dernières du jardin, snif !)

- des filets de magret de canard séché

- des cerneaux de noix fraiches

- éventuellement, des œufs de caille (je n'en avais pas mais c'est mieux !)

- 3 cuillères à soupe d'huile de noix

- 1 cuillère à soupe de vinaigre de vin rouge

- sel, poivre

Faire cuire les oeufs de caille, dur ou mollet. Laver la salade et les tomates. Préparer la vinaigrette en mélangeant huile, vinaigre, sel, poivre.

Dans chaque assiette, répartir la salade, les tomates, les filets de magret de canard séché, les cerneaux de noix et, éventuellement, les oeufs coupés en deux. Arroser de vinaigrette et servir.

Et pour finir ce petit repas, un cappuccino s'impose !

caf__cappucino1

2 octobre 2005

Tendre et fondante, la poire bien sûr !

 poire_et_chocolatpoire_et__pices1
photos de Yves Bagros pour le site lapoire.com

Bien qu'elle soit présente quasiment tout l'année, la poire est à mes yeux un fruit d'automne. Allez savoir pourquoi. Peut-être est-ce à cause de ses couleurs, du jaune au vert en passant par le rouge, qui me rappellent invariablement celles des feuilles des arbres à cette saison ?

Il est vrai qu'une grande majorité de variétés est automnale : la William (d'août à octobre), la Beurré Hardy, l'Alexandrine, La Louise-bonne d'Avranches (de septembre à novembre), puis la Comice et la Conférence (poires d'automne et d'hiver par excellence), enfin la Passe-Crassane (de décembre à mai). Finalement, parmi les poires présentes sur nos étals, seule la Guyot est vraiment une poire d'été. Il est d'ailleurs important de veiller à la saison des poires afin de l'apprécier pleinement, que ce soit d'un point de vue gustatif ou nutritionnel.

A ce propos, la poire a un réel intérêt nutritionnel et diététique. Riche en eau, elle contient de nombreux minéraux, vitamines et oligo-éléments. Ses fibres facilitent le transit intestinal.

Comment la choisir ?

C'est parce qu'elle continue à mûrir quelques temps encore après la cueillette, qu'il est important de veiller à sa maturité.

Si vous souhaitez une poire mûre à point, vous devrez vous servir de votre nez (elle doit être bien parfumée), de votre main (elle doit être plutôt lourde) et de vos doigts (elle doit être souple au niveau du pédoncule).

Quant aux variétés, elles vous offrent différents types de chair (des plus fines comme la conférence aux plus granuleuses comme la guyot) que vous choisirez en fonction de vos goûts, mais aussi de votre système digestif (les poires fondantes comportant des fibres mieux tolérées que celles à chair granuleuse).

Comment la conserver ?

Comme pour beaucoup de fruits, mieux vaut conserver les poires à l'air libre, dans une coupe à fruits, sans qu'elles ne soient serrées. Vous les achèterez fermes, ce qui vous permettra alors de les conserver quelques jours.

Bien sûr, on peut aussi les conserver pendant 2 à 3 jours dans le bac à légumes du réfrigérateur, en prenant soin de les sortir une heure avant de les déguster afin qu'elles vous délivrent tous leurs arômes. C'est en effet à température ambiante que les poires offrent leurs qualités gustatives.

L'idéal, pour la conservation des poires,  reste néanmoins le stockage dans un endroit sain, c'est-à-dire frais, sec et aéré, à une température proche de 0°C. Ainsi, la poire atteindra sa maturité optimale.

Comment la préparer ?

Crue, la poire conserve un maximum de micro-éléments. Citronnée, non seulement, elle ne s'oxyde pas, mais elle apporte, en outre, davantage de vitamine C. Epluchée, en lamelles, elle transforme une simple salade en une entrée rafraichissante et originale.

Et entre la poire et le fromage, que choisit-on ? Et bien, justement, on ne choisit pas, on prend les deux ensemble ! Comté, roquefort, ossau-iraty, crottin de chèvre s'associent à merveille, nature, sur une brochette apéritive ou dans une tarte salée, avec ce fruit délicat.
Mais c'est sans oublier la traditionnelle charlotte où poires, crème patissière et biscuits à la cuillère font bon ménage, ou dans une version plus gourmande, poires et mousse au chocolat.

C'est qu'entre la poire et le chocolat existe une longue et belle histoire d'amour que Nestlé a d'ailleurs compris depuis longtemps ! Qu'y-a-t-il de plus merveilleux en bouche qu'une sauce au chocolat tiède nappant une bouchée de poire juste cuite et si fondante ? Rien ! A ce propos, essayez donc la version confiture...

Pourtant, la poire aime aussi la compagnie des épices qui le lui rendent bien ! Vanille, cannelle, cardamone, girofle subliment une compote de poires. Le cumin, le curry, le paprika, le gingembre ou encore la coriandre vous invitent à un voyage autour du monde autour d'un plat salé.

Cuite, la poire trouve donc sa place dans de nombreux plats. C'est qu'elle se pavane, la poire, au côté d'une viande, d'un gibier ou d'une volaille ! Faut dire qu'un petit magret aux poires accompagnée d'une sauce au chocolat, c'est pas mal du tout ! Sans parler du foie gras poêlé, rien que d'en parler, j'en ai l'eau à la bouche !

Un petit truc pour les viandes poêlées : déglacez le jus de cuisson d'un peu d'eau et de vinaigre balsamique et ajoutez-y les pépins et la peau des poires que vous jetteriez habituellement. Leur pectine va épaissir la sauce sans qu'il soit nécessaire d'avoir recours à la farine et lui transmettre un doux parfum de poire.

Et puis, il y a la célèbre tarte Bourdaloue qui fait toujours un tabac sur une table au moment du dessert. A ce propos, saviez-vous que l'on doit ce nom à Louis Bourdaloue (1632-1704) ? Enfin devrais-je dire à une rue de Paris qui porte son nom.
Prédicateur jésuite de la Cour, Louis Bourdaloue a en effet donné son nom à une rue de Paris où était installé, dans les années 1900, un pâtissier réputé pour ses nombreuses créations dont une tarte faite de poires pochées, agrémentée d'une crème frangipane (autremement dit une crème pâtissière + une crème d'amande) et recouverte de macarons en poudre.
Comme vous pouvez le constater, la tarte Bourdaloue est donc une spécialité parisienne, légèrement différente de la tarte amandine aux poires qui comtient une crème d'amande et non une crème frangipane, contrairement à ce que l'on entend généralement. Et voilà pour l'histoire !

En cherchant une recette de tarte Bourdaloue ou d'amandine aux poires, je me suis rendue compte que la tarte aux pommes que j'affectionne pouvait très bien être transposée à la poire, en augmentant la quantité de poudre d'amandes. Voici donc la tarte aux poires et amandes.

amandine_aux_poires_001

Tarte aux poires & amandes

- un fond de pâte sablée

- 4 poires

- un peu de jus de citron

- 2 œufs

- 100g de sucre en poudre

- 150g d’amandes en poudre

- 100g de crème fraîche épaisse

- quelques amandes effilées

Etaler la pâte sablée sur le plan de travail fariné puis la déposer (attention ! ça casse) dans un moule à tarte. La piquer à la fourchette.

Préchauffer le four à 220°.

 

Peler et épépiner les poires. Les couper en deux et les citronner afin qu'elles ne noircissent. Les déposer sur la pâte et les strier à l'aide d'un couteau sans les transpercer complètement.

 

Dans une jatte, battre les œufs. Y ajouter le sucre, puis l’amande en poudre et la crème fraîche.Bien mélanger. Verser l’appareil sur les poires.

 

Mettre à cuire à four chaud pendant 25 mn. A mi-cuisson, parsemer d’amandes effilées.

 

Laisser refroidir sur une grille avant de déguster.

Verdict de cette tarte poires & amandes : un délice, et bien plus léger à la poire qu'à la pomme.

La recette de la tarte amandine aux poires se trouve ici.

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13 septembre 2005

La confiture de mûre, ma madeleine à moi

confiture_de_m_re_0061

Qui n'a jamais cédé à la tentation d'une belle mûre, le temps d'une balade dans un chemin de nos campagnes ?

Début septembre me plonge directement dans ces moments où maman nous amenait à la cueillette de mûres, les semaines avant la rentrée scolaire, lorsque le soleil chauffe encore nos après-midis, que l'ennui nous gagne et que la hâte de retrouver notre école nous envahit.

D'accord, ce n'était pas qu'une partie de plaisir, ces ronces qui nous griffaient les jambes et les bras nus, nos mains bien vite tâchées par le jus des fruits noirs. Et puis, il fallait marcher dans les chemins et les champs, grimper le long des talus, s'assurer de l'absence de taureaux (au cas où...), tout comme celle des chasseurs, un peu plus tard dans la saison, lorsque nous irions ramasser des châtaignes.

Fières de notre récolte, nous rentrions alors les sacs remplis de mûres, qui allaient honorer nos petits-déjeuners jusqu'à la moitié de l'hiver.

Ni une, ni deux, il était temps de nous y mettre afin de remplir bien vite les pots vides qui attendaient déjà depuis six mois dans la cave.

Et que de bonheur, lorsque la confiture prête, nous pouvions enfin déguster au goûter, nos premières tartines avec l'écume de la cuisson. Bien que nous nous étions déjà léchées les doigts et brûlées la langue quelques instants auparavant !

Ah qu'il est loin ce temps là...

Confiture de mûre de maman, grand-mère...

- autant de sucre cristallisé que de jus de fruits recueilli

- et c'est tout !

Déposer les mûres équeutées dans une bassine. Ajouter un bon verre d'eau et faire bouillir quelques minutes.

Dans un moulin à légumes, passer les fruits afin d'en extraire les grains et d'en recueillir le jus.

Peser ce jus et y ajouter le même poids en sucre.

Remettre dans la bassine propre et porter à ébullition.

Laisser alors cuire 7-8 minutes à feu doux, tout en écumant de temps à autre.

A ce moment, la confiture doit être prise. Pour le vérifier, prélever un peu de confiture à l'aide d'une cuillère et la laisser tomber sur une assiette froide. Elle doit figer quasiment instantanément.

Mettre alors en pot.

Refermer immédiatement les couvercles et retourner les pots. Laisser refroidir.

confiture_de_m_re_0071

17 mai 2005

Un gratin bien sympa

En mal d'inspiration hier soir, mais finalement bien sortie de l'affaire avec ce petit gratin dont la recette, revue et corrigée pour l'heure, est extraite d'un vieux Cuisiner/France Soir d'octobre 2000.

gratin penne, cèpes et jambon de Parme

Gratin de penne au jambon de Parme et aux cèpes

pour 4 personnes, il vous faut :

- 240 g de penne

- 50 g de cèpes déshydratées (ou des cèpes fraiches à la saison)

- 80g de parmesan Parmiggiano reggiano

- 140g de jambon de Parme

- 1 échalote

- 1 gousse d'ail

- 10 cl de crème fleurette

- 30 g de beurre

- de l'huile d'olive

- du sel et du poivre

Quelques heures avant le repas, réhydrater les cèpes dans un bol d'eau.

Avant le repas, commencer par faire cuire les pâtes dans un grand volume d'eau salée (10g/litre d'eau).

Préchauffer le four à 200°.

Pendant ce temps, peler et émincer l'échalote.

Dans une sauteuse, faire fondre le beurre et y faire revenir l'échalote, les champignons et l'ail pressé pendant quelques minutes.

Assaisonner et réserver.

Couper le jambon en fines lanières.

Egoutter les pâtes en ne conservant que 20 cl d'eau de cuisson.

Faire réduire aux 3/4. Y ajouter la crème fleurette et fouetter jusqu'à dissolution de celle-ci.

Dans un plat à gratin beurré, verser les pâtes, le jambon et les champignons.

Napper de sauce et parsemer de copeaux de parmesan.

Enfourner pour 10 bonnes minutes jusqu'à ce que le dessus soit bien doré.

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